L'opérateur de services de géolocalisation nous dévoile ses usages de l’adresse.

- Quels services proposez-vous ?

Chez TomTom, nous sommes cartographes. Nous fournissons nos technologies de géolocalisation aux automobilistes, constructeurs automobiles, services publics, entreprises et développeurs.

Nos cartes extrêmement précises, notre logiciel de navigation, notre information trafic en temps réel et nos API contribuent à une mobilité intelligente qui rend les routes plus sûres, la conduite plus sereine et l’air plus sain.

À travers le monde, des centaines de millions de conducteurs, entreprises et administrations utilisent chaque jour nos technologies en toute confiance.

Par exemple, un conducteur qui veut se rendre à un lieu précis va utiliser son GPS TomTom ou celui d’un de nos partenaires via un système embarqué dans son véhicule, une application smartphone, un appareil portatif, etc. Il recherche l’adresse, sélectionne un itinéraire préconisé et va être guidé de manière précise, optimale et sécurisée vers sa destination. C’est un cas d’usage qui s’applique aux particuliers mais aussi très largement aux pros – les livreurs, les véhicules d’intervention et de secours, les véhicules de transport de personnes, etc.

- Quel rôle joue la BAN dans la qualification de l'adresse chez Tomtom ?

Depuis son lancement en License ouverte, TomTom met régulièrement à jour son référentiel d'adresse à partir des données de la BAN. Elle est devenue la source privilégiée pour l'actualisation de l'adressage. Elle contribue donc largement à la précision et l'optimisation des itinéraires recherchés par les usagers - particuliers, véhicules de livraisons, services de secours, etc.

Cela permet également le bon référencement des services et commerces présents sur les territoires.

- Quelles perspectives d'usage de la BAN pour Tomtom en 2022 et au-delà ?

TomTom continue d'extraire et d'intégrer les mises à jour de la BAN. Nous intensifierons prochainement la fréquence d'actualisation grâce à des processus de plus en plus automatisés.

Les véhicules et services étant également de plus en plus connectés, il est possible d'envisager à terme une communication quasi en temps-réel entre les producteurs qui mettent à disposition l'information certifiée, et les usagers qui y accèdent.